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Michel Petit : Les timbres du SE asiatique, les théières chinoises, les vieilles assiettes... Cauchemar en vue pour les héritiers ;)

Ça Va : Oui perso, je collectionne les timbres, les boîtes d'allumettes format poche, les briquets, les différentes pièces européennes de 2 euros, les cartes postales, les vases miniatures, les photos de chats...

Antoine Texier : Dans mon cercle d'amis on m'appelle "L'Archiveur". J'ai pour habitude d'avoir l'oeil avisé sur ce qui m'entoure. La valeur financière ne m'intéresse pas. C'est l'émotion avant tout. J'amasse, j'empile, je tris, je collectionne tout type d'objet : sous-bock, magazines anciens, affiches / flyers, ticket de musée, jouet / figurines, pièces, manuscrits, photos / vidéos, pins... et une multitude d'objet divers à caractère sentimentale. Je n'expose pas mais je conserve. Comme pour préserver une mémoire, un souvenir, une époque.

Enrick Over : Je m'intéresse à l'évolution de la presse, depuis les premières parutions du XVIIe.L'écriture "journalistique"et les techniques d'investigation de l'époque comparées à notre presse actuelle, m'a amené à recroiser les informations des différents journaux et courants politique. Et tout naturellement, j'en suis arrivé en accumuler des milliers. Trouvés dans les greniers, brocantes, et aussi les salles d'enchères, ma collection est actuellement composée de prés de 4 000 journaux complets, dont tous les n°1 de la presse française.
J'ai toujours aimé lire, et mes grand-pères me donnaient leurs journaux à J+1, mais je restais frustré de ne pas avoir les débuts des reportages ou enquêtes politique. J'ai donc commencé mes recherches aux archives, puis, dès mes premières paies, j'ai enfin pu combler ce manque. j'ai acheté des lots de journaux que des brocanteurs ne vendaient pas, pour maintenant en arriver à chercher sur le net. Je fais aussi les salles d'enchères pour les numéros rares. Je dispose de 75 m² pour mes journaux. Ils sont à plat, les pièces plongées dans l'obscurité. les numéros d'exception sont tous dans du papier de soie.C'est évidemment prenant, mais tellement bien sur tous les points.

Benjamin Busch : À 27 ans, j’ai arrêté l’enseignement pour vivre de ma passion : la philatélie et le monde des collections ! J'ai attrapé le virus des collections à l'âge de 10 ans environ, chez mon père. Je collectionnais et j'avais très tôt l'obsession que ma collection s'autofinance. Depuis 2017, je suis devenu auto-entrepreneur (achat vente de timbres en ligne avec le monde entier).

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